Un moment de grâce, un instant délicieux, un paysage envoutant, un lieu troublant :
AAlors immédiatement photos, selfies, vidéos, textos ! Important de partager tout cela avec les réseaux !
BVous vous laissez émouvoir, vivre l’instant intensément. Un moment, rien d’autre n’existe que cette contemplation
CVous trouvez l’instant magique. Vous voulez profiter de cette rareté, avec une photo pour mieux s’en souvenir
D Waouh ! Chouette ! Vous immortalisez l’instant. Photos, selfies pour votre album perso et à partager entre amis
Une définition pour mémoire :
Ailleurs : un autre lieu que celui où l’on est ou dont on parle.
Le Grand Robert de la langue française
Commentaires sur la réponse au questionnaire :
Vous avez choisi B :
Vous n’êtes probablement pas emporté(e) par la frénésie de tout documenter tout le temps. Vous portez attention à l’instant présent, à la sensation qui est là. Vous n’avez pas besoin de thésauriser. Pour vous, le trésor, c’est la rencontre avec ce qui est là, tout simplement.
Vous avez choisi C :
Vous aimez vous laisser émouvoir par l’instant et vous aimez aussi en garder un souvenir concret. Les photos sont de bons témoins. Elles sont plus fiables que la mémoire. C’est désormais si facile d’en faire ! Et de pouvoir les consulter quand on veut … Avoir avec soi tous ces albums, comme c’est pratique !
Vous avez choisi D :
Vous avez pris l’habitude de capter les moments « Waouh ! ». Ces instants rares, éphémères. Qui disparaîtraient si on ne pouvait pas les immortaliser. C’est un peu le film de votre vie que vous réalisez ainsi en vous mettant en scène. Et puis c’est chouette de le partager : vous à tel moment, vous à tel endroit !
Vous avez choisi A :
Peut-être que vous voudriez toujours avoir votre réseau, vos amis avec vous. Comme si vous vouliez qu’ils soient témoins de tout ce qui vous arrive, qu’ils y participent. Mais où êtes-vous quand vous vivez ? Prenez-vous le temps de profiter, de sentir, avant que d’interpeller les autres, ailleurs ? Et s’il n’y a pas de réseau, le plaisir de l’instant en est-il diminué ? Si c’est le cas, il est temps d’apprendre à laisser le smartphone dans le sac.
La relation professionnelle avec un nuisible tourne souvent à la guerre de positions.
Il s’instaure un rapport de force où soit l’autorité, soit le nuisible, parvient à imposer ses règles, ses critères. Malheureusement, au grand jeu du conditionnement réciproque, c’est souvent l’autorité qui finit par céder et reculer. Voyons comment la situation se crée et perdure au profit de l’un ou de l’autre.
Au chantage relationnel, le nuisible en préfère un autre, plus puissant : le chantage sur les faits. Herluin ne supporte pas les ordres ; son bonheur est de n’en faire qu’à sa tête. Dès qu’on lui impose une tâche, il la sabote : c’est sa façon à lui de faire comprendre qu’il ne faut l’obliger à rien.
Conditionnement du tenant de l’autorité par le nuisible
Quand on ne peut s’en débarrasser, le nuisible occupe un poste de travail où il va s’exprimer de toute façon. Dans un précédent article, on a vu comment le positionner afin de limiter ses capacités de nuisance. Reste la question de savoir comment gérer son activité au quotidien pour limiter les dégâts.
Cette situation délicate est la source de nombreuses injustices pour l’équipe assez courantes :
les activités qu’il n’assure pas sont réalisées par les autres en plus des leurs, c’est injuste ;
les problèmes qu’il crée sont résolus par les autres, c’est plus qu’injuste ;
comme il saborde toutes les missions sensibles, on tend à ne lui confier que les tâches les moins lourdes et c’est encore injuste ;
il sème la zizanie, agresse les autres, crée des tensions : tout le monde souffre et se tait ;
dans la mesure où il est imperméable aux remontrances comme aux explications, on finit par ne plus rien lui dire ;
quand on lui dit quelque chose, il faut subir son agressivité, ses jérémiades, ses réactions déplaisantes : on évite de le contredire.
À la longue, le nuisible atteint son objectif premier : « enquiquiner » son monde et avoir la paix.
Même alors, ça ne s’arrange pas. Il n’en a jamais assez, et lorsqu’il est parvenu à imposer sa posture au système, il est condamné à la défendre pour l’installer dans la durée. Il n’a donc aucune raison de s’arrêter…
Rétablir la justice
Dès lors qu’on lui laisse la moindre possibilité d’exercer, le nuisible en déduit que son attitude fonctionne et donc, il en rajoute.
Il est donc indispensable de le mettre en échec dans ses écarts de comportement, afin que ce ne soit pas les autres qui en subissent les conséquences, en appliquant les préconisations suivantes.Lire la suite
Des leviers existent pour réduire significativement les comportements toxiques des nuisibles et leurs effets. L’autorité peut limiter leurs nuisances par une gestion drastique de leurs activités, et par des formes de relations efficaces.
La plupart d’entre eux, y compris de prétendus experts, organisent soigneusement leur incompétence, à la fois pour se débarrasser des travaux qui leurs déplaisent et pour entraver le système à leur profit. Cet article propose quelques remèdes à cet aspect de la problématique.
Il est extrait de l’ouvrage « Gérer les personnalités difficiles au quotidien » et fait suite à Identifier et gérer ses nuisibles, Typologie des nuisibles au travail et dans la vie. et Echelle des niveaux de nuisance : de l’erreur au sabotage.
Dans la plupart des situations de la vie professionnelle, c’est une banalité, il y a interaction avec les autres. La façon de se conduire, la position que l’on prend vis à vis de l’autre, les moyens utilisés pour faire entendre son point de vue font partie intégrante de la relation, indépendamment des techniques de communication proprement dites.
La « maîtrise » de ces techniques peut être mise au service de toutes les finalités. Les qualités de « communicant » d’un individu peuvent se rencontrer aussi bien chez un despote, un démagogue ou un solitaire.
Il s’agit dans ce chapitre d’identifier le mode de relation que la personne établit avec les autres. Son adaptation semble généralement surtout contrainte par le positionnement hiérarchique. Dans ce cas, on n’opte pas pour le même mode de relation selon que l’on s’adresse à un supérieur, un collègue ou un subalterne. C’est reconnaître que la position sur un organigramme conditionne les formes de la relation. En réalité, cette variation est un mode de relation proprement dit : celui qui s’établit sur la dominance.
Le classement proposé ici, en 4 niveaux de modes de relation aux autres, s’effectue en fonction de ce à quoi fait appel la personne lorsqu’elle entre en relation.Lire la suite
J’ai découvert il y a longtemps, avec effarement, que certains cabinets font la promotion d’une démarche où les fondements de la “relation client” serviraient de modèle au management ! La « culture client » érigée en ressource du développement des pratiques managériales ! cette idée refait surface régulièrement.
La culture managériale des entreprises qui achètent une telle ineptie serait-elle donc, à ce jour encore, si pauvre ?
Commerce = “commerce” = management.
Cette approche se fonderait principalement sur l’individualisation et la personnalisation des relations, l’écoute et l’attention portée à l’autre, sa valorisation, l’investigation et la particularisation du contenu des échanges.
Autrement dit, le tout petit bout de la lorgnette d’un management tout entier confondu avec « rapport humain », dans un contexte supposé de relation libre.
Peut-être, cet égarement relève-t-il de la facilité d’une confusion sémantique autour du mot « commerce », pris comme activité de vente et/ou pris comme relation entre personnes ? Bon, on peut toujours faire plus simpliste, mais là on est tombé bien bas dans le paquet de ficelle grossière.
Encore une fois, on creuse l’ornière qui tend à réduire la problématique du management à la seule dimension de la relation individuelle.
Et, pour satisfaire des figures de fausse cohérence, on force des mélanges aussi stupides qu’artificiels.
Pouvoir changer de crèmerie.
Par essence, ce qui caractérise un client c’est d’abord qu’il peut “changer de crèmerie” ! Le but premier de toute activité commerciale est qu’il vienne se servir chez nous plutôt que chez un concurrent et qu’il y revienne.Lire la suite
Quand on prononce le mot coaching dans l’univers de l’entreprise, et désormais plus largement dans tous les champs sociaux, on voit au travers des réactions se dessiner une représentation dominante fortement connotée « Psy ».
Dans la tête des professionnels, qui s’en réclament et/ou qui en font, l’idée est peut-être plus claire et plus sophistiquée, mais dans celle du quidam, elle est beaucoup plus confuse.
En fait les pratiques observables naviguent sur deux axes croisés :
L’objet de l’intervention, entre le tout psy et le tout-action,
Le degré d’interventionnisme, entre la non-ingérence absolue et le guidage très directif.
Ce que le commun des personnes sociales en retient globalement ressemble beaucoup à l’idée qu’il se fait des psychothérapies. Une grosse majorité des « coachs » s’y assimile d’ailleurs volontiers.
La perception générale de la chose est que le coaching (commercial, appliqué au monde professionnel) est plutôt calé sur les taquets du « psy » et de la non-intervention dans les choix concrets de la personne.Lire la suite
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