La politique est partout
Pour aborder simplement la notion de “politique” on peut dire que c’est à la fois la désignation du but global qu’on se donne et le choix des grands moyens dont on se dote pour y parvenir.
D’une certaine façon, c’est une croyance où on associe étroitement ce qu’on a envie d’atteindre, ce qu’on pense pouvoir réussir et les ressources qui devraient permettre d’y parvenir. C’est toujours un choix arbitraire déterminé par le mariage entre nos ressorts d’intention et notre représentation de l’environnement.
Quelle que soit l’activité dans laquelle on se lance, on y est toujours conduit par une politique, volontaire, affinée, inconsciente, obsessionnelle, confuse, cachée ou approximative, mais présente.
On a ainsi autant de politiques que de besoins à satisfaire : amoureux, affectifs, économiques, sociaux, biologiques, etc.,puisque dans chacun de ces cas on a choisi un but, des partenaires ou des espaces et des conditions supposées favorables, des modes d’action qu’on croit efficaces.
Cette notion est très souvent confondue avec la notion de stratégie (voir article précédent sur ce sujet).
Malheureusement, de trop nombreux manageurs n’en ont aucune représentation claire au-delà des formules pompeuses ; voire n’imaginent même pas de quoi il s’agit effectivement à leur niveau.
Quand à s’en emparer pour la « manager »… Pourtant c’est pour le moins la ligne de mire dans laquelle devraient s’inscrire les objectifs.
Les clés et le sens
Dans le domaine des activités professionnelles, la politique d’activité combine (a minima) ordinairement quatre choix fondamentaux :
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